L’aventure Nikon

 

Un joli boitier…



L’histoire commence avec ce boitier.

Pour le moment, c’est très bien. Je n’ai pas encore fait de reportage avec…

J’ai juste peur qu’il prenne la pluie… Ou la poussière…


Alors je ne m’en sers que prudemment… Par exemple pour le mariage de ma fille… (photo Bruno Chenivesse, avec un D4…).










 

Principale amélioration : le contraste


Plus sérieusement, il m’a permis de faire mes nouveaux livres sur la Louisiane, le Bénin, le Caire et de nouveaux reportages au Québec, à New York et ailleurs.

Il marque un progrès sensible par rapport au D3S, surtout en matière de dynamique ou d’acceptation des grands contrastes. Le D4 encaisse des écarts de luminosité bien plus forts.

L’ergonomie a changé, avec des plus et quelques moins (pe. La sélection des méthodes de mise au point).

Le mode silencieux est excellent, je m’en sers souvent en concert.

L’illumination des commandes est très pratique.
Bref, un magnifique boitier !

Mais toujours la crainte de le casser…


Voici quelques exemples en vrac :

New York sous la tornade au 105, f:1,4 :

Le château de Sarah Bernardt, sur Belle Ile au 14:24 mm, f:2,8 :

Une petite fille aux Aguégués, au Bénin au 105, f:1,4 :

Un paysan et sa fille à Bopa au Bénin :

Une paysanne dans les collines de Dassa au Bénin au 105, f:1,4 :

Annick à Vérone au 105, f:1,4 (en bas à gauche) :







APRES LE D3S trop fragile, le D4…