Le mariage d’Annick et Jean -Luc
Le mariage n’était pas prévu… Il a été improvisé
Par pour ce qu’on imagine… Mais ce fut pour répondre à la demande de Marcel Dubois (le Père Dubois , Maire de Montselgues où nous venions d’acheter l’Espinas en 1973/1974.
A la fin du service militaire de JLM, au début de l’été 1976, il demanda s’il ne pouvait pas nous marier… La raison officielle était qu’il ne se représenterait pas aux municipales de 1977 parce qu’il était maire depuis 40 ans…
Pour lui faire plaisir (et aussi peut-être parce que c’était dans nos intentions ou que nous n’avions rien contre à part la «Non demande en mariage» de Brassens), nous lui répondîmes favorablement.
Il fallut tout organiser pendant l’été 1976, mais en ce temps là les gens étaient moins pris très longtemps à l’avance.
La date fut fixée pour le 4 septembre, une semaine avant la rentrée des classes et après les vacances des « aoûtiens ».
Le Quatre septembre 1976, par devant nous, ont comparu dans la maison commune Annick Cuchard et Jean-Luc MIchel…
Cérémonie à la mairie de Montselgues.
Discours du maire – Ecoutez -le, c’est un trésor, tout plein de poésie…
Après la mairie, ce fut une véritable aventure pour les invités…
Piste vers l’Espinas en caravane de voiture, genre safari… A l’époque on passait avec des automobiles de villes, de toutes façons les 4X4 n’existaient pas à part Jeep et Land Rover…
Apéritif à l’Espinas au son de Schéhérazade diffusé sur des enceintes maison alimentés par un groupe électrogène.
Outre les invités les habitants de Montselgues étaient conviés aussi. La maison avait été chauffé la veille pour la cas où le temps auraot été mauvais
Heureusement, ce fut le soleil, agrémenté d’un bon petit vent du nord.
Piste de retour vers Montselgues et route vers l’Auberge de la Besse Rieutord.
Trois cols à franchir, cinq forêts à traverser, 60 km. Un vrai rallye qui en enchanta plus d’un.
Apéritif à la Besse (pour ceux ou celles qui avaient encore soif…).
Repas à l’ancienne avec moult plats et vins.
Chants par les invités…
Danses
Repas du soir.
Retour dans la nuit vers Viviers.
Le lendemain, suite de la fête dans un restaurant de Saint Thomé (à côté de Viviers).
Comme nos amis de la SNCF avaient organisé une bonne grève ce week-end là, il nous fallut organiser un autre repas pour les Parisiens qui n’avaient pas pu venir…
Ces photos ne sont qu’une simple esquisse. Je dois en scanner autres…
Clichés du 4 septembre 2015 : Les 39 (+5) années…
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