Vente sur Amazon (15,20 €) et dans toutes les librairies (Fnac, Decitre, Le Furet, etc.)
Devenu
une référence, ce livre montre l’exceptionnelle
diversité de la communication en présentant ses 280 tâches
de base, ses 42 grandes fonctions et ses 30 métiers principaux sur
un total de 70 qui sont décrits minutieusement.
Il illustre le dynamisme et fonde la légitimité de la communication
dans toutes les organisations (grandes ou petites entreprises, associations,
administrations, collectivités territoriales, etc.).
- Aux étudiants et aux lycéens, il donne la
description précise de toutes les tâches en les situant dans
des ensembles plus vastes comme la communication interne, externe, globale
et en fournissant de très nombreuses références de formation.
- Aux enseignants, il fournit des outils pour mieux comprendre
l’histoire de ces métiers, pour construire des grilles d’évaluation,
aussi bien des personnes formées que des formations et offre la possibilité
de définir rapidement des « profils de compétences ».
- Aux professionnels intéressés par la communication,
il décrit les nombreuses passerelles entre les métiers en permettant
de déterminer avec précision le profil des tâches pour
mieux spécifier les besoins afin de réussir un recrutement ou
une reconversion.
- Aux communicants, il apporte des outils de crédibilité
décisifs et un élargissement de leurs compétences en
montrant comment la communication est au cœur de la stratégie
et de la vision.
Instrument unique, salué par
la presse, ce livre explique comment s’insérer avec
succès dans le monde de la communication en alliant développement
professionnel, développement personnel et éthique.
REMERCIEMENTS -----------------------------------------------------------
La troisième édition m'a -enfin- donné l'occasion de rendre hommage à tous les communicants que j'ai croisés depuis des années. Je ne l'avais pas fait (à leur demande) dans les éditions précédentes pour préserver leur anonymat. Depuis 1999, les changements de postes me permettent de les citer sans interférer sur leur vie professionnelle.
Les
conclusions des « Professions de la communication » sont issues
de travaux de recherche menés pour vérifier que les formations
que j’ai créées à Paris, Angers, Marne la Vallée,
Saint-Etienne, Montpellier ou à l’étranger déboucheraient
effectivement sur des emplois qualifiés et durables.
Aux étudiants qui s’interrogeaient sur leur
avenir professionnel avec cette lancinante question : « Aura-t-on toujours
besoin de communicants ? », j’ai voulu apporter des preuves que
la fonction communication était pérenne dans une société
développée et que le nouveau challenge se situait dans sa conquête
de crédibilité et de légitimité, d’où
les positionnements successifs des cursus que j’ai initiés. En
fréquentant depuis des années le monde des communicants, j’ai
cherché à faire intervenir des spécialistes reconnus
et compétents, mais surtout ouverts, curieux, généreux,
en un mot, humanistes. J’ai tenté d’appliquer ce principe
de recrutement que m’avait fait découvrir mon vieil ami Emmanuel
Sacchi : « Toujours recruter meilleur que soi ». Et tous ces intervenants
me sont apparus vraiment meilleurs que moi… C’est donc grâce
à eux que j’ai progressé et que nous avons diplômé
plus de 1000 personnes en stratégie de communication globale à
bac+4/+5.
Mes pensées vont d’abord à ces étudiants
des universités de Paris 7 (ma fac), Paris 2, Paris 3, Paris 4, Paris
8, à celles d’Angers, de Marne la Vallée, de Saint-Etienne
et de quelques autres en France ou à l’étranger. Leurs
innombrables mémoires et rapports de stages m’ont permis de connaître
à chaque fois un peu plus la réalité mouvante de la communication
des entreprises et des organisations. J’ai toujours des contacts avec
un grand nombre d’entre eux : ils m’apportent sans cesse les derniers
éclairages sur l’évolution de la fonction communication.
Je ne remercierai jamais assez les intervenants dircoms du privé
comme du public, directeurs artistiques ou de création et dirigeants
d’agence : Michel Laplace, Alain Bouhey, André Chenevard
(Lyon), Marc Thébault (Caen), Olivier Barbé, Max Rivière,
Daniel Vallat, Jean Di-Donato, Jérôme Tessier, Patrick Françon,
Philippe Gay, Brigitte Caruana (Saint-Etienne), Daniel Couriol, Dominique
Hayer (Paris), Thierry Chiumino (Ogilvy Paris), Thierry Wellhoff (Wellcom
Paris), Christophe Périlhou (Nantes), Jean-Marie Mulon (Château
Gontier), Geneviève Manois (Montpellier), Philippe Elhaïk (Marseille),
Jean-François Legat (Rive de Gier), Max Verte (St-Chamond), Jean-Luc
Siégel (Arles), Catherine Moulé (Angers), sans oublier François
Billaudeau (†). Leur passion communicative a initié de magnifiques
parcours professionnels aux étudiants et aux stagiaires.
Ensuite, je remercie les consultants ou dirigeants de cabinets de
consulting : Vincent Lenhardt (Transformance) à qui je dois
tant, Pierre Barrère (Ressources et Performances), Jean-Claude Loiseau,
Pierre d’Elbée, Manfred Mack, Bernard Laroche, Jean-Marc Rochette
qui ont apporté leur dynamisme et toute leur expérience humaine
alors que les formations que j’animai ne leur fournissaient pas toujours
la reconnaissance qui leur était due… Merci de continuer à
venir dispenser des cours avec autant de fraîcheur…
Une mention spéciale aux présidents de structures, directeurs
de formation qui ont crû et soutenu le positionnement que je leur recommandais
: Jean Devèze (à Paris 7 et Marne la Vallée, mon directeur
de thèse et l’ami de toujours, hélas disparu), Christian
Mayaud à Paris 8, Constantin Xypas à Angers, Gilbert Argoud
et Benoît Lauras (université de St-Etienne), Jean-Louis Verdier
et Annie-Ange Gaumondie pour le Cetec-Info à Paris, Jean Munster au
CNAM de St-Etienne, Philippe Mondamert et Vera Brodu pour l’ENACT de
Montpelier, Jean-Pierre Mandeville et Gwénola Gaudec pour le CNFPT/ENACT
d’Angers, Jacques Louis Keszler et Michel Dumoulin à l’ESC
de St-Etienne, Daniel Peyron à l’ESC de La Rochelle, Lionel Le
Nignol à l’ESSCA et d’autres qui m’ont demandé
diverses interventions pour porter la bonne parole de la légitimation
de la communication.
Enfin, je veux saluer des personnes qui ont toujours soutenu mes initiatives
en matière de création de cursus professionnalisants et dont
la connaissance approfondie de la communication a guidé mes choix stratégiques
: Alain Lebouc et son festival du Scoop à Angers, Olivier
Bachelard, Philippe Goyon, Rémi Pupier, Christian Daudel, Jean-Claude
Monneret, Bruno Duborgel (St-Etienne), Elisabeth Vercher-Buisson (université
de Lyon), Jacques Oswald (CCI de Lyon), Yahn Mangematin, Jacques Walter (Metz),
mon indéfectible amie Marie-Claude Vettraino-Soulard (Paris 7) qui
a animé pendant trente ans des séminaires sur tous les sujets
importants de la communication, Jacques Vigneron (Créteil), Claude
Baltz (Paris 8), Jean-Baptiste Carpentier (Paris 4), Jean Cloutier et Patrick
J. Brunet (Montréal), Edmonde Charles-Roux, Bernard Dimet, Pascal Martin,
Jean-Pierre Chamoux, Pierre Fougeyrollas, Denis Pryen, Philippe Maarek, Gilbert
Béville, François Silvain, Gérard Noël, Christian
Blachas, (Paris), Didier Bouquillard, Mireille Vagné-Lebas (Bordeaux),
Jean Davallon (Avignon), Michel Mathien (Strasbourg), Valérie Billaudeau,
Pierre Gosselin, Abdel Chérif, Christophe Journet, Mohand Renai, Abder
Nabati, Catherine Nafti-Malherbe, Jean-Marie Wallet, Olivier Dassonneville,
Claudie Raimbault (Angers), Bernard Wuillième (Lyon), Claude Leboeuf
(Montpellier), François Richaudeau (Lurs en Provence), Jean-Michel
Saillant (Le Mans), Yana Konstantinova (Sofia), Mustapha Masmoudi, Nebila
Mezghani (Tunis), Jean-Louis Brinette († Mulhouse) et ses formations
d’étiomédecine qui m’ont fait découvrir que
l’énergie est de l’information en mouvement.
Qu’ils soient tous remerciés. Grâce à eux, la fonction
communication a sûrement un peu progressé dans sa quête
de légitimité en France.
Je ne peux oublier ma famille avec un fils dans la communication-marketing
et une fille dans le marketing-communication, à moins que ce ne soit
le contraire…Je n’y suis pour rien, c’est leur choix ! Et
une compagne qui me fait comprendre chaque jour que la communication c’est
aussi une conquête toujours renouvelée.
Plus de communication, c’est plus d’intercompréhension.
Et peut-être plus de bonheur.
La table des matières - version 2004 -Version 2008 à venir
Dans cet ouvrage, j'ai voulu montrer
que le débat sur la pérennité
des professions de la communication était définitivement dépassé
puisque celle ci est définitivement acquise !
Les formations doivent viser à la légitimité des
fonctions stratégiques, ce qui se traduit par l'entrée des communicants
dans les organes de direction. C'est
le thème du DIRCOM qui entre au CODIR. Ceci s'observe
dans l'évolution des fonctions en trois niveaux distincts :
l'opérationnel, le fonctionnel et le stratégique. Un
diaporama
l'illustre.
Mais pour y parvenir, il faut être très performant d'où
des exigences fortes vis-à-vis
des formations.
Je montre aussi que les communicants devraient faire combat commun avec les
journalistes pour obtenir une véritable application de la clause
de conscience, seul moyen de leur
assurer la distance stratégique et éthique, indispensables à
leur efficacité. Ceci est évidemment lié à mes
travaux théoriques sur la distanciation
qui offrent un cadre méthodologique puissant.
Pour la première fois, le livre dépasse la question communication
externe/interne/mixte pour la poser comme stratégique
et globale donc systémique. Il montre que pour être
un bon stratège, il faut avoir réfléchi sur les grands
concepts de Sun Tzé à Claussewitz ou Jomini, sans négliger
des auteurs contemporains sur la notion de menace asymétrique ou d'intelligence
collective (diaporama).
Il explicite aussi, pour la première fois en France, le processus de visioning à partir des contributions de Collins, Porras et Latham.
Le livre montre que le stratège doit avant tout interroger l'identité, les valeurs et les images de la structure dans laquelle il exerce, ce qui prouve qu'il n'y a pas de différence de nature entre la communication des entreprises privées ou publiques, ou entre les PME et les petites collectivités territoriales. Leur dircom doit faire partager et vivre les valeurs par l'ensemble des acteurs avec des messages différenciés mais cohérents.
La preuve (que j'administre dans mes formations de Communiquance) en est donnée par les deux schémas ci-dessous, qui concernent la stratégie privée ou publique et montrent comment l'action sur l'identité est longue et complexe mais passionnante.
Enfin, ce livre explique en détail quelques méthodes de visioning
empruntés aux travaux américains les plus récents (Collins,
Porras, Latham). Il explique le rôle majeur de la communication pour
favoriser l'émergence du sens et se trouver ainsi un nouveau challenge
au terme duquel se jouera sa crédibilité.
Sorti pour la première fois en décembre l999, ce livre s'est si bien diffusé qu'il atteint sa troisième édition en 2008. Il synthétise les cursus de communication que j'ai créés (à Angers et Saint-Etienne ou ailleurs) et démontre la pérennité de ces métiers grâce à leur diversité et leur évolution continuelle.
Il valide aussi le bien fondé du positionnement originel de ces formations, à savoir : généralistes de la communication stratégique et globale.
Les journalistes l'accueillent favorablement car il préconise un "combat commun" avec eux pour la clause de conscience.
Les professionnels le citent comme la référence.
Les étudiants s'en servent régulièrement pour leur orientation.
Je l'ai présenté et vais continuer de le faire dans des réunions type"Club de la Presse" ou des radios comme Radio Classique.
Il est signalé comme "indispensable" sur le portail des professionnels de la communication "Tout sur la com"
Ma méthode est toujours la même : trouver des choses originales et utiles à dire par une méthode reconstruisant intégralement la question. Ici, je pars des tâches de base, étudiées sur le terrain et à la faveur des rapports de stage. Elles sont au nombre incroyable de 280 !!!
D'où la conclusion selon laquelle on aura TOUJOURS besoin de bons communiquants !!
La conclusion de 1999 a été l'introduction de l'édition de 2004 : les Dircoms entrent dans les Codirs (Comités de Direction), ce qui veut dire que le nouveau challenge se situe du côté de la légitimité. D'où le fait que les formations devront être très performantes pour répondre à ce nouvel enjeu. C'est pourquoi je proopse la création d'Instituts polytechniques de la communication…
Dans l'édition 2008, l'accent est mis sur la VISION stratégique, entendue comme nouvelle frontière de la crédibilité des communicants.
Beaucoup de nouveautés dans l'édition 2008, avec des schémas, une réécriture complète du chapitre consacré aux formations et une nouvelle présentation de la communication globale encore plus en phase avec la situation actuelle.