En cadeau :
Deux ouvrages publiés sur l'audiovisuel (réédités en 1985/86).
Et encore deux autres en 1981/1982 sur l'audiovisuel (j'ai publié très jeune…)
Ces ouvrage sont cités sur le
site du GREF, sur Espace
Photo.
A l'heure où le diaporama numérique commence à resurgir grâce aux progrès de l'informatique, les méthodes de création exposées pourraient reprendre du service.
Le diaporama était et reste une école de rigueur, c'est ce qu'explique le site de Diapovision.
Première édition
: Media Jeunesse, 1980, Paris, 200 pages.
Réédition en 1985 chez ESF, Entreprise moderne d'édition,
222 pages.
Conservateur du Musée Nicéphore Nièpce, Président de l'association des Gens d'Image.
Quatrième
de couverture :
La diapositive est un moyen de communication audiovisuelle à part entière
possédant ses codes et ses langages spécifiques qu'il faut apprendre
à maîtriser. Malgré les progrès du numérique,
c'est le support qui offre la meilleure qualité visuelle actuellement
disponible (et pour un coût réduit).
Destiné à ceux qui ont besoin d'images pour communiquer et qui
cherchent à améliorer leur compétence ou leur efficacité
audiovisuelles, "De la prise de vue aux effets spéciaux"
donne des solutions simples pour concevoir, fabriquer ou truquer des diapositives.
Comment concevoir et exploiter spectaculairement les graphiques sortis de
l'imprimante de son ordinateur, comment s'équiper, quel projecteur
choisir et en fonction de quels critères ? Quelles émulsions ?
Quels effets spéciaux ?Comment obtenir de bons duplicatas ? Comment
réaliser des génériques et des titrages de qualité
professionnelle ? Comment reproduire des documents (au besoin à
l'aide d'un ordinateur) ou classer efficacement ses diapos ?
Cet ouvrage s'adresse aux services audiovisuels des entreprises, aux associations,
aux animateurs de photo-clubs ou d'écoles d'audiovisuel et de communication,
aux enseignants, aux formateurs, aux futurs professionnels de l'audiovisuel
ainsi qu'à tous les "amateurs" passionnés de l'image
fixe ou en séquence.
Il propose en outre une approche originale et résolument pragmatique
de la communication audiovisuelle qui fut d'ailleurs saluée à
sa sortie par des revus aussi diverses que Phot'Argus, Sonovision que le Nouvel
Observateur.
Première édition
: Media Jeunesse, 1980, Paris, 190 pages.
Réédition en 1985 chez ESF, Entreprise moderne d'édition,
221 pages.
Préface par Jean Painlevé
Fondateur de l'Institut de Cinéma
Scientifique (ICS)
Quatrième de couverture :
Cet ouvrage répond aux questions que se posent ceux qui ont besoin
d'images et de sons pour communiquer, que ce soit sous forme traditionnelle
ou sur vidéodisque.
Comment concevoir une (bonne) conférence illustrée ? Comment
réaliser intégralement un spectacle en fondu enchaîné
ou en multivision ? Quelles sont les différentes étapes
et les principales difficultés du travail de réalisation ?
Comment choisir des accompagnements musicaux, réussir un mixage et
régler des droits d'auteur ?
Comment s'équiper ? Quel type de synchronisation est-elle la plus
adaptée ? Comment organiser une séance de projection "réussie" ?
Comment rédiger un commentaire ? Quels sont les principaux pièges
à éviter ?
Tout comme son prédécesseur, cet ouvrage fut abondamment salué
par la critique en 1986 lors de sa seconde édition.
Depuis leur réédition, ils ont fait figure de référence en la matière et sont encore (paraît-il) vendus !! Le tout numérique signifiera leur mise en retraite définitive
Les observateurs remarqueront que le mot "Diaporama" a été largement repris en informatique, notamment en "Présentation assistée" (type Microsoft PowerPoint, ou programmes sur cédéroms ou serveurs web), ce qui montre que les méthodologies de l'époque demeurent enncore valables aujourd'hui.
Paris, ESF, Entreprise moderne d'édition, 1985, 312 pages.
Quatrième de couverture :
L'informatique est partout.
Elle nous concerne tous : Usagers lorsque nous prenons un billet d'avion,
de train ou de métro, utilisateurs lorsque nous tapons sur un
clavier de minitel pour interroger une base de données, prescripteurs
d'un système ou simplement responsables désirant gagner
du temps ou de l'efficacité dans nos activités.
Ce livre intéressera chacun, quels que soient sa place, sa fonction
et son rôle.
Aux entreprises , il rappellera la nécessité du fonctionnement
en double système tout en dressant le tableau des principales évolutions
technologiques que l'on peut attendre des matériels et des logiciels.
Aux municipalités de toutes tailles, il indiquera comment établir
des cahiers des charges.
Aux associations de toute nature, il apportera de nombreux exemples
d'utilisation professionnelle au service de leurs objectifs sociaux, culturels
ou sportifs
Ce livre, centré sur les choix de matériels et de logiciels,
se propose de donner un état d'esprit exigeant vis-à-vis de
l'informatique et des informaticiens et dégage les traits le plus pertinents
de la démarche informatique.
Très complet et prospectif, "L'informatique et nous" , véritable
guide pratique, invite aussi à la réflexion sur les enjeux culturels,
économiques, et sociaux des moyens modernes de communication et d'information
dont l'informatique et ses dérivés font partie.
"L'informatique et nous" fut salué par la critique à
sa sortie, notamment par La Tribune de l'Economie.
Paris, Hatier, collection Profil,
1983, 80 pages.
22 questions.
Les schémas des filières de formation.
Un lexique.
Des interviews, des adresses
Exemple des questions traitées :
Avenir (s) de l'informatique
Littéraires et informatique
Chômage - risques pour les informaticiens
Audit
Analyse/Conception
Informatique et arts
Mathématiques et informatique
Promotions
Recherche
Salaires
Société fichée
Nombreux tableaux sur les filières
Entretiens avec une dizaine de personnes.
A sa sortie, cet ouvrage fut signalé par la presse comme un guide indispensable
sur les métiers de l'informatique. Il me fut commandé par les
éditions Hatier suite à mon article de 1982 : Informatique
et audiovisuel. Avant le dégel dans la Revue L'Ecole libératrice
DOUZE parutions en une bonne vingtaine d'années, c'est à la fois peu (par rapport à d'autres !) et beaucoup (même remarque).
Ces ouvrages sont très différents, même s'ils montrent tous la même volonté de publier toujours du neuf, du nouveau et pas du bruit, pas de la compilation.
Dabord, mes premières amours pour la photo avec deux ouvrages sur la diapositive et le diaporama. J'avoue que pendant longtemps j'ai assez mal supporté la moue dédaigneuse de certains collègues universitaires vis-à-vis de ces bouquins qui m'avaient pourtant demandé énormément de travail de recherche. La reconnaissance vint du public qui les acheta en masse : je fus un peu le "pape" de la diapositive dans les années 1980, les deux titres étaient cités partout comme incontournables). Selon certains collègues, ces ouvrages (plus de 400 pages au total) ne seraient pas "scientifiques". C'est vrai et c'est faux. Ils ne correspondent effectivement pas aux critères académiques classiques, mais ils font uvre de recherche de grande ampleur, avec des observations, des enquêtes, des réflexions ou des calculs jamais effectués ailleurs (par exemple la question de la luminosité des écrans). La preuve : des années plus tard, à l'heure du tout numérique, ils sont toujours cités et pas mal cotés chez les bouquinistes ! Depuis, ce genre de critiques m'est absolument indifférent, et sur le long terme, ces travaux ont dégagé autant d'utilité sociale que d'autres ! Si j'en avais une copie numériqeu je l'aurais volontiers mise à disposition du public sur le net, mais ce n'est pas le cas, et il faudrait tout scanner et passer en reconnaissance optique - trop long et pas assez motivant !
La recherche "pratique" ou appliquée est mal vue en sciences de l'information et de la communication, d'où le manque dramatique de crédibilité de ces dernières dans le corps social et dans les sciences dures. C'est d'autant plus dommage que beaucoup de doctorants, s'ils s'orientaient sur de tels sujets trouveraient peut-être plus facilement des postes intéressants dans les entreprises (au prix, il est vrai, d'une forte évolution des mentalités).
Après l'audiovisuel, ce fut l'informatique, ses métiers (Hatier) et les démarches d'informatisation des PME et des associations (ESF/EME), toujours avec la même volonté de donner les moyens au lecteur de se faire sa propre idée de la question. Outre les aspects technico-économiques, je proposai une véritable démarche (saluée par La Tribune de l'Economie et Les Echos) d'une informatisation "intelligente", c'est-à-dire respectueuse des individus et favorisant leur créativité et leur épanouissement..
Ensuite, vint l'ouvrage théorique sur la distanciation (l'Harmattan), fruit de longues réflexions et de mon licenciement économique à l'alternance de 1986 (les budgets sur lesquels je travaillais ayant été supprimés par le nouveau gouvernement).
Je voulais que ce livre fixe la base de tout ce qui s'ensuivrait.
Sa diffusion fut assez mauvaise, mais je suis toujours surpris de la qualité des personnes qui l'ont déniché, lu et apprécié. Des années après, par exemple sur le web, on me dit encore son intérêt, sa force, son "avance", etc (il se vend toujours). Des étudiants francophones du Québec et d'Afrique m'adressent souvent des questions, il est cité dans de nombreuses bibliographies.
Un jour, il faudra que j'en fasse une version plus accessible.
Enfin, avec Ellipses, j'ai pu de nouveau atteindre de larges publics, d'abord avec Le Mémoire de recherche en SIC, ensuite avec Les Professions de la commnication, puis le Mémoire de fin d'études dans les Ecoles de Commerce,
2004 a vu la réédition des Professions de la Communication avec pas mal de pages supplémentaires.
2006, celle du Mémoire de Recherche en Information et Communcation, passé de 92 à 155 pages.
2008 a connu la troisième édition des Professions de la Communication avec des pages supplémentaires.
De nouveaux titres sont en préparation.